La Révolution française est un point de passage obligé pour tous les
généalogistes qui souhaitent passer la barrière du XIXème siècle.
Elle est en effet une véritable barrière car avant la Révolution française, on disposait de registres paroissiaux uniquement, constatant les baptêmes, les mariages et les sépultures. Après, la Révolution, on a vu se modifier ces trois familles d'actes qui sont devenus les actes constatant les naissances, les mariages et les décès, mais se sont ajoutés les divorces et les tables décennales.
Ce dernier point est une grande aide pour le chercheur car il permet de regrouper sur un registre, toutes les naissances, les mariages ou les décès des citoyens classés par ordre alphabétique. C'est donc très pratique pour rechercher les hommes. Les mariages peuvent ensuite aider à retrouver les femmes grâce à la connaissance de leur nom de jeune fille.
Mais, il y a deux choses à bien comprendre pour la période allant grossièrement de 1792 à 1805 :
Autre point, surtout visible dans les communes importantes : les changements de nom. Tel lieu dont le nom était trop marqué "ancien régime" était rebaptisé avec un nom plus politiquement correct. Il ne faut donc pas hésiter à chercher sur internet les études historiques menées sur les paroisses où vivaient vos ancêtres sous l'ancien régime, pour voir si la commune n'a pas fait les frais de ce renommage ...
Enfin, un dernier aspect non négligeable, la qualité des documents laisse souvent à désirer. sans doute parce que l'effort de guerre faisait mettre les ressources financières ailleurs que dans l'état-civil ...
Pour résumer, on peut quand même dire que la frontière marquée par la Révolution française n'est souvent que psychologique et qu'il est aisé de la franchir pour continuer sa quête vers le XVIIIème siècle !
Et vous, comment avez-vous vécu l'étude de cette période ?
Elle est en effet une véritable barrière car avant la Révolution française, on disposait de registres paroissiaux uniquement, constatant les baptêmes, les mariages et les sépultures. Après, la Révolution, on a vu se modifier ces trois familles d'actes qui sont devenus les actes constatant les naissances, les mariages et les décès, mais se sont ajoutés les divorces et les tables décennales.
Ce dernier point est une grande aide pour le chercheur car il permet de regrouper sur un registre, toutes les naissances, les mariages ou les décès des citoyens classés par ordre alphabétique. C'est donc très pratique pour rechercher les hommes. Les mariages peuvent ensuite aider à retrouver les femmes grâce à la connaissance de leur nom de jeune fille.
Mais, il y a deux choses à bien comprendre pour la période allant grossièrement de 1792 à 1805 :
- un nouveau calendrier a fait son apparition, ce qui peut perturber un peu les recherches
- les officiers d'état-civil n'étaient pas forcément aussi rigoureux ni compétents que les prêtres auxquels ils avaient succédé
Autre point, surtout visible dans les communes importantes : les changements de nom. Tel lieu dont le nom était trop marqué "ancien régime" était rebaptisé avec un nom plus politiquement correct. Il ne faut donc pas hésiter à chercher sur internet les études historiques menées sur les paroisses où vivaient vos ancêtres sous l'ancien régime, pour voir si la commune n'a pas fait les frais de ce renommage ...
Enfin, un dernier aspect non négligeable, la qualité des documents laisse souvent à désirer. sans doute parce que l'effort de guerre faisait mettre les ressources financières ailleurs que dans l'état-civil ...
Pour résumer, on peut quand même dire que la frontière marquée par la Révolution française n'est souvent que psychologique et qu'il est aisé de la franchir pour continuer sa quête vers le XVIIIème siècle !
Et vous, comment avez-vous vécu l'étude de cette période ?
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